Fiche :
- Date de sortie : 26 mars 2025
- Durée : 1h51
- Genre : Action, Thriller
- Avec : Jack Quaid, Amber Midthunder, Ray Nicholson
- Réalisé par : Dan Berk, Robert Olsen
Résumé :
Lorsque la fille de ses rêves est kidnappée, Nate, un homme ordinaire, transforme son incapacité à ressentir la douleur en une force inattendue dans son combat pour la retrouver.
Ma Critique :
Cinquième long-métrage de Dan Berk et de Robert Olsen, un duo de réalisateurs américain et amis de longue date, Novocaine est un thriller d’action où l’on retrouve Jack Quaid dans le premier rôle qui s’est fait connaitre grâce à l’excellente série The Boys sur Prime Video. S’inspirant des grands films d’action de l’époque tels que Die Hard et L’Arme fatale, qu’en est-il de ce film ? Verdict d’après-séance dans cette nouvelle Media’Critique, sans spoilers.

Un excellent moment
En ce début d’année 2025, il faut avouer que le paysage cinématographique n’est très verdoyant. En effet, hormis Better Man, 5 septembre et L’attachement, les autres sorties en salles ne m’ont pas véritablement marqué. L’intrigue de Novocaine a attiré mon attention et je dois dire que je fus agréablement surpris par cette réalisation. Dan Berk et Robert Olsen ont réussi à insuffler à ce film d’action un ton fun et décalé où l’humour noir côtoie la violence brute. Le rendu scénaristique est plus que satisfaisant parfois même jouissif durant certaines séquences, notamment le sourire de Nate après avoir pris un coup ou l’autodérision des situations. C’est bien rythmé, avec de nombreux rebondissements ! De plus, si la plupart des ingrédients qui font le succès de ce film sont tirés de certains films cultes, le scénario parvient à trouver une touche d’originalité à travers son protagoniste et son handicap pour nous offrir de bons moments. Enfin, au-delà de son côté humoristique, Novocaine repose également sur une histoire d’amour. Une jolie métaphore autour du protagoniste Nate, son insensibilité à la douleur et son incapacité à ressentir des émotions.

Survitaminé !
Dan Berk et Robert Olsen ont fait le choix de privilégier les effets physiques aux images de synthèse pour donner plus de réalisme au film. Ainsi, les blessures de Nate, les impacts de balles, les explosions ou d’autres effets tels que la main de Nate dans la friteuse ont été réalisés grâce à des prothèses, du maquillage et des cascades physiques. Le rendu visuel est superbe, avec des prises de vue maîtrisées durant les scènes d’action et accompagné d’une bande originale survitaminée et entrainante.
Super-héros ?
Jack Quaid surprend en bien dans le rôle de Nate et nous offre une excellente interprétation, rendant son personnage vraiment attachant. L’acteur a même réalisé la plupart de ses propres cascades ! Il forme un joli duo avec Amber Midthunder, qui m’avait véritablement bluffé dans Prey (disponible sur Disney+). Face à eux, Ray Nicholson (oui, il s’agit bien du fils de Jack !) joue le rôle du méchant et se montre crédible et convaincant. Une distribution honnête !
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| Note pour le scénario : | |
| Note pour la mise en scène : | |
| Note pour le casting : | |
| Note – Ressenti général: | |
Note Globale : |
15/20 |
