Voici mon retour d’expérience sur mon expérience « 3 Days in Cannes ».
Seconde Edition (15 – 17 mai 2019)
Me voilà de retour au Festival de Cannes pour 3 jours de folie au coeur du cinéma ! Petit changement pour cette année : j’ai pu avoir la chance de loger chez de la famille au Cannet (à 2,5 km du Palais, très facile d’accès avec le Palm Bus).
Et comme l’année dernière, ce fut l’occasion de rencontrer des journalistes, des vedettes et des passionnés du septième art. Cependant, ayant assisté au début de ce Festival, le cinéma des Arcades ne proposait pas de rediffusions de la Sélection Officielle et du Certain Regard (logique en même car c’était les trois premiers jours du Festival). Conclusion : plus de difficultés pour assister aux projections. Mais, au final, ce fut une expérience enrichissante de se démener avec sa petite pancarte pour obtenir de belles invitations !
La 72ème Edition en quelques chiffres : 1 visite intégrale du Palais, 9 films (dont 6 au Grand Théâtre Lumière, 2 au Théâtre Debussy et 1 au cinéma de la Plage), plus de 16h de projection, 1 montée des Marches en Smoking pour le film « Bacurau » et un excellent moment devant « La Cité de la Peur » avec l’équipe du film (Alain Chabat, Gérard Darmon, etc.) !
Ça y est… j’y suis… au Festival de Cannes pour la seconde fois de ma vie ! Un nouveau grand moment pour le jeune cinéphile que je suis. Et dès mon arrivée et après l’obtention de mon badge « 3 Days in Cannes », j’ai pu assister à la cérémonie d’ouverture sur le Grand Ecran du Palais avec la montée des marches remplie de vedettes mais aussi l’équipe du film « The Dead don’t Die » ! Sans oublier, comme l’année dernière la visite du hall du Palais des Festivals, suivi d’une petite balade sur le bord de mer et pour finir… un bon Steak’N Shake !
Jour 1 : Que la chasse aux billets commence…
Petite averse du matin… mais qui laisse rapidement sa place au Grand Soleil du Sud ! Et sans plus attendre, passon à la première séance de la journée : The Dead don’t die (Sélection Officielle), 9h au Grand Théâtre Lumière au balcon. Toujours cette magnifique et gigantesque salle, avec un son immersif et ses 2 300 sièges !
Histoire de « The Dead don’t die » : Dans la sereine petite ville de Centerville, quelque chose cloche. La lune est omniprésente dans le ciel, la lumière du jour se manifeste à des horaires imprévisibles et les animaux commencent à avoir des comportements inhabituels. Personne ne sait vraiment pourquoi. Les nouvelles sont effrayantes et les scientifiques sont inquiets. Mais personne ne pouvait prévoir l’évènement le plus étrange et dangereux qui allait s’abattre sur Centerville…
Avis sur « The Dead don’t Die » : Après le drame romantique « Only Lovers Left Alive » (2014) ou bien la comédie romantique « Paterson », le réalisateur Jim Jarmush change de registre pour s’intéresser à la comédie horrifique. Et au final, c’est une agréable surprise ! En effet, le long-métrage « The Dead don’t Die » se démarque grâce à son scénario décalé et vraiment délirant, qui se moque ouvertement des clichés récurrents présents dans les films de zombie, mais également de la société de consommation américaine (et ses thématiques annexes telles que la pollution et le dérèglement climatique).
Et malgré un rythme assez lent, « The Dead don’t Die » reste tout de même une comédie rafraîchissante qui ne tombe pas dans les facilités scénaristiques du registre et qui nous offre des dialogues franchement savoureux. N’oublions pas la mise en scène qui est propre (costumes, design des zombies et bande originale) et un casting vraiment excellent porté par Bill Murray, Adam Driver, Tilda Swinton ou encore Chloë Sevigny. C’est complètement assumé et c’est à ne pas manquer ! [16/20]
Fiche du film « The Dead don’t Die » : https://www.captainwatch.com/film/535581/the-dead-don-t-die
Séance terminée. Petite pause pour aller récupérer les invitations que j’ai pu remporter et boire un café fraîchement offert par Nespresso, puis direction la deuxième projection de la journée au théâtre Debussy, sur le côté du Palais des Festivals : Bull (Certain Regard), un drame américain réalisé par Annie Silverstein. Séance de 14h avec entrée sur badge (et non invitation)… donc 1h30 d’attente… Pire qu’à Disneyland !
Histoire de « Bull » : Dans une subdivision presque abandonnée à l’ouest de Houston, Kris, une adolescente égarée, se précipite un soir chez son voisin, un torero vieillissant, pour y faire la fête avec ses amis. Mais, tout aussi volontaire et impitoyable, ce dernier découvre les faits et le conflit commence…
Avis sur « Bull » : C’est le premier long-métrage de la réalisatrice Annie Silverstein. Elle signe un drame poignant, avec histoire doté d’une grande sincérité. Le scénario joue énormément sur la psychologie des personnages, notamment la jeune fille Kris qui tente de surmonter l’absence de sa mère, en prison. De plus, la relation entre Kris et son voisin est forte. Mais malgré ces quelques points positifs, le film « Bull » manque clairement d’originalité, de rythme et surtout de rebondissements. En effet, le scénario met énormément de temps à s’enclencher et le dénouement laisse un goût d’inachevé.
Il en reste au final un casting honorable, attachant et une histoire honorable. Un drame qui vaut tout de même le coup d’œil ! [12/20]
Fiche du film « Bull » : https://www.captainwatch.com/film/595940/bull
Il est 15h45. Et je n’ai plus de séance pour la journée… C’est l’heure de la chasse aux invitations ! Et après une heure de patience et d’acharnement, je réussis à décrocher mon invitation pour un film en Sélection Officielle à 22h : « Bacurau » ! Direction le tapis et les marches rouges, le smoking… et une séance en Orchestre s’il vous plait !
Histoire de « Bacurau » : Dans un futur proche… Le village de Bacurau dans le sertão brésilien fait le deuil de sa matriarche Carmelita qui s’est éteinte à 94 ans. Quelques jours plus tard, les habitants remarquent que Bacurau a disparu de la carte…
Avis sur « Bacurau » : Après leur thriller dramatique « Aquarius » (2016), les deux réalisateurs Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles nous proposent cette année « Bacurau », un long-métrage sur le combat des habitants de la ville de Bacurau dans le Nordeste brésilien contre une armée de tueurs qui veulent éradiquer cette population.
Le scénario se divise en deux parties : la première est assez longue, avec une introduction assez étrange (notamment la livraison de cercueils…) et l’ambiance tarde à s’installer. Néanmoins, l’histoire nous offre tout de même une ambiance fantastique captivante, dans un futur proche, avec ce combat éternel entre ces villageois (qui luttent pour leur survie) et les humains fortunés (tels que les politiciens, les riches, etc.) mais aussi avec quelques apparitions nocturnes. Le secret et le suspens sont d’ailleurs bien conservé autour de ces mystérieux touristes… jusqu’au renversement de situation qui laisse place à une seconde partie sanglante tel un véritable western métaphorique. Le dénouement est d’ailleurs très marquant ! Enfin, on pourra souligner une mise en scène honorable et un casting sincère. Une dystopie à ne manquer ! [14/20]
Petite anecdote : Le « Bacurau » est un oiseau farouche et nocturne.
Fiche du film « Bacurau » : https://www.captainwatch.com/film/446159/bacurau
Jour 2 : Le Soleil de Cannes
La deuxième journée au Festival de Cannes commence merveilleusement bien sous un magnifique soleil avec une première séance à 12h : « Les Misérables ». Ce qui m’a permis de récupérer un peu de la veille (je me suis couché à 2h30 du matin voyez-vous…). Un long-métrage réalisé par Ladj Ly, en compétition pour « la Sélection Officielle ».
Histoire du film « Les Misérables » : Stéphane, tout juste arrivé de Cherbourg, intègre la Brigade Anti-Criminalité de Montfermeil, dans le 93. Il va faire la rencontre de ses nouveaux coéquipiers, Chris et Gwada, deux « Bacqueux » d’expérience. Il découvre rapidement les tensions entre les différents groupes du quartier. Alors qu’ils se trouvent débordés lors d’une interpellation, un drone filme leurs moindres faits et gestes…
Avis sur le film « Les Misérables » : Ladj Ly nous propose un film « coup de poing » en ce début du Festival de Cannes. En effet, le scénario offre une histoire brutale avec des dialogues choquants et très crus, opposant la Police (Brigade Anti-Criminalité) et les habitants de la cité de Montfermeil. Né d’un fait réel, le scénario se veut donc très réaliste et dépeint, avec beaucoup de violence, une France abandonnée et à la misère. Certes, l’écriture est peut-être un peu trop grossière et l’humour branlant mais cela reflète avec beaucoup de désespoir le vie quotidienne de certains quartiers en France.
Par ailleurs, la mise en scène est à l’image du scénario : terrifiante, avec des scènes de confrontations glaçantes entre la Police et les enfants de la cité. Très réaliste ! Le seul petit bémol de ce long-métrage serait pour moi le casting qui est assez inégal puisqu’il mêle des acteurs professionnels et de vrais habitants (c’est trop visible par moment…). Il en reste néanmoins un drame à ne pas louper ! [15/20]
Fiche du film « Les Misérables » : https://www.captainwatch.com/film/586863/les-miserables/
À la suite de cette projection (13h45), je me dirige rapidement vers le théâtre Debussy pour la séance de 14h, même si je ne pensais pas pouvoir rentrer… Et par chance, j’ai pu assisté à la projection du film d’animation « Les Hirondelles de Kaboul », en compétition pour « Un Certain Regard » (une première pour moi au Festival de Cannes).
Histoire du film « Les Hirondelles de Kaboul » : Été 1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s’aiment profondément. En dépit de la violence et de la misère quotidienne, ils veulent croire en l’avenir. Un geste insensé de Mohsen va faire basculer leurs vies.
Avis sur « Les Hirondelles de Kaboul » : Le film d’animation Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec est une adaptation du best-seller de Yasmina Khadra. « Les Hirondelles de Kaboul » est une véritable réussite scénaristique avec une histoire captivante et des personnages attachants : l’histoire d’un couple à Kaboul qui rêve de liberté face à la cruauté des Talibans. Leur sauvagerie est d’ailleurs bien représentée par la brutalité des sons : leur ton agressif, les nombreux tirs ou encore le bruit inquiétant de leur voiture. Mais l’histoire fait également preuve de douceur et de nostalgie avec cette touchante histoire d’amour entre Mohsen et Zunaira, où quelques flash-back d’avant-guerre (comme leurs sorties au cinéma ou la librairie) laisseront un zest d’émotion.
Mais, à mon humble avis, l’animation manque de finition. C’est peut-être un style d’animation / une technique voulue par les deux réalisatrices mais, selon moi, certains traits comme les arrières plans auraient pu être davantage travaillés. Il en reste tout de même un film d’animation honorable ! [14/20]
Fiche du film « Les Hirondelles de Kaboul » :
https://www.captainwatch.com/film/582881/the-swallows-of-kabul/
Fin de la projection à 15h30, et direction un petit McDonald’s car le cinéma… ça creuse ! Puis une petite pause à l’appartement, histoire de souffler un peu ! Malheureusement, je n’ai pas pu assister à l’avant-première de « Rocketman » à 19h. Une séance difficile d’accès au vue du nombre d’invités / célébrités qui ont déroulé sur le tapis rouge. Mais j’ai tout de même pu regardé la montée des marches et prendre quelques photos de Sir Elton John et Taron Egerton (comme vous pouvez le voir ci-dessous). J’ai donc terminé ma seconde journée au cinéma de la Plage pour la projection de « La Cité de la Peur », l’occasion des 25 ans du film avec la présence de l’équipe du film ! Un excellent moment !
Fiche du film « La cité de la peur » : https://www.captainwatch.com/film/15097/la-cite-de-la-peur
Avec la petite vidéo (via la page Facebook) du show en live de Gérard Darmon et Alain Chabat :
Jour 3 : Le Marathon de Cannes !
Troisième et dernière journée au Festival de Cannes. Le marathon ? Oui ! Trois films d’affilée. Première séance à 8h30 pour le film dramatique : « Sorry we missed you », réalisé par Ken Loach. Autant dire que le réveil de 6h30 a clairement piqué…
Histoire du film « Sorry we missed you » : Ricky, Abby et leurs deux enfants vivent à Newcastle. Leur famille est soudée et les parents travaillent dur. Alors qu’Abby travaille avec dévouement pour des personnes âgées à domicile, Ricky enchaîne les jobs mal payés ; ils réalisent que jamais ils ne pourront devenir indépendants ni propriétaires de leur maison. C’est maintenant ou jamais pour Ricky de changer de travail…
Avis sur le film « Sorry we missed you » : Après « Moi, Daniel Blake » (2017) qui avait remporté le César du Meilleur film Etranger, Ken Loach revient cette année au Festival de Cannes avec le film dramatique « Sorry we missed you ». Avec une histoire bouleversante, le réalisateur dénonce les conséquences du libéralisme (la libre concurrence qui oblige les sociétés à baisser drastiquement leurs prix et cela se répercute bien souvent sur leurs salariés) et les difficultés de nombreuses familles au sein de leur vie privée. En effet, Ricky tente de survenir aux besoins de sa famille en devant chauffeur / livreur à son compte, un travail sans salaire ni horaire fixe. Malheureusement, en raison de nombreux problèmes personnels et professionnels, tout ne se passe pas comme il avait prévu et son travail dégrade ainsi le bien-être de sa famille, tout particulièrement la relation avec son fils qui est en plein crise d’adolescence.
De plus, le film est vraiment bien rythmée avec cette tension familiale très réaliste et qui ne cesse d’augmenter progressivement au fil de l’histoire. Les personnages / les acteurs du casting sont très attachants et bien développés. Seul petit bémol : le film se termine sur une fin ouverte et cela peut paraître frustrant… « Sorry we missed you » sortira à l’automne prochain, à ne pas manquer ! [15/20]
Fiche du film « Sorry we missed you » :
https://www.captainwatch.com/film/522369/sorry-we-missed-you
A la sortie de la projection (10h15), j’ai tenté d’obtenir une invitation pour la séance du lendemain du biopic musical « Rocketman » (11h) avec ma petite pancarte et… à peine deux minutes après l’avoir sortin une personne de la presse me donna son billet… Quelle chance ! Un long-métrage tout simplement M.A.G.I.Q.U.E et riche en émotion !
Histoire du film « Rocketman » : Rocketman nous raconte la vie hors du commun d’Elton John, depuis ses premiers succès jusqu’à sa consécration internationale. Son histoire inspirante – sur fond des plus belles chansons de la star – nous fait vivre l’incroyable succès d’un enfant d’une petite ville de province devenu icône de la pop culture mondiale.
Avis sur le film « Rocketman » : « M.A.G.I.Q.U.E », c’est le premier mot que j’ai prononcé en sortant de la séance. Le nouveau film de Dexter Fletcher (après l’excellent « Eddie the Eagle ») est vraiment incroyable, d’autant plus que le producteur n’est autre que le grand Elton John qui a fortement contribué à la construction de ce biopic musical. Pour commencer, la construction scénaristique est originale puisque le chanteur Elton John, transformé en démon et interprété par Taron Egerton, nous raconte sa carrière fulgurante au cours d’une séance entre alcooliques dans une clinique spécialisée : de son enfance vraiment difficile (une relation froide avec son père, une mère indifférente) à sa renommée internationale, en passant par ses débuts au piano, sa rencontre avec son parolier Bernie, sa chute dans la drogue, son homo-sexualité, jusqu’à sa prise de conscience soudaine et son combat pour redevenir celui qu’il était auparavant.
L’histoire est donc vraiment riche, bien rythmée, entraînante, et présente brillamment la vie du célèbre chanteur Elton John. De plus, l’enchaînement des musiques est maîtrisée, elles sont intelligemment placées dans le scénario afin de raconter la vie du chanteur au travers de ses chansons. L’ensemble est vraiment fluide, avec un protagoniste très attachant et ce grâce à la magnifique interprétation de Taron Egerton. L’acteur est très investi dans son rôle, il chante vraiment bien et sa métamorphose en Elton John est sensationnelle. Enfin, n’oublions pas le casting qui est honorable et la mise en scène qui est grandiose, aussi bien sur les costumes, sur les représentations musicales d’Elton John mais également sur les décors et la colorimétrie (offrant un long-métrage très coloré).
Bref… si vous avez apprécié « Bohemian Rhapsody », laissez vous tenter par l’électrisant biopic musical « Rocketman » qui est nettement supérieur aussi bien sur le scénario, la mise en scène et sur le casting. [18/20]
Fiche du film « Rocketman » : https://www.captainwatch.com/film/504608/rocketman
Dernier instant au Festival de Cannes avec l’ultime projection de 13h45 : le long-métrage franco-sénégalais « Atlantique », réalisé par Mati Diop. Et malheureusement une sacré déception pour ce film dramatique !
Histoire du film « Atlantique » : Dans une banlieue populaire de Dakar, les ouvriers du chantier d’une tour futuriste, sans salaire depuis des mois, décident de quitter le pays par l’océan pour un avenir meilleur. Parmi eux se trouve Souleiman, l’amant d’Ada, promise à un autre. Quelques jours après le départ des garçons, un incendie dévaste la fête de mariage de la jeune femme et de mystérieuses fièvres s’emparent des filles du quartier. Ada est loin de se douter que Souleiman est revenu…
Avis sur le film « Atlantique » : C’est la grosse déception de ce séjour au Festival de Cannes. En effet, malgré une intrigue plutôt intéressante, je n’ai pas du tout accroché au premier long-métrage de Mati Diop qui présente, selon moi, un scénario difficile à digérer. En effet, la réalisatrice multiplie les sous-intrigues sans prendre le temps de les exploiter et au final ne fait que survoler l’ensemble : l’histoire d’amour entre Ada et Souleiman est creuse et sans émotion, le fond politique avec le chantier et les impayés du directeur manque de consistance, la tragédie en mer des hommes n’est même pas mis en scène (ce qui aurait permis d’apporter une véritable touche tragique à cette histoire) et enfin le côté fictif et religieux d’un monde peuplé d’esprits est difficile à cerner. De plus, le film manque de rythme, l’histoire est longue et sans véritables rebondissement. Enfin, le casting n’est pas convaincant avec le même problème que pour « Bacurau ».
Au final, il reste de ce long-métrage une mise en scène à la fois percutante par le biais des décors qui montrent la pauvreté locale mais aussi gracieuse par le biais des magnifiques couchers de soleil. Le reste est vraiment moyen… [7/20]
Fiche du film « Atlantique » : https://www.captainwatch.com/film/496967/atlantiques
Et voilà… ainsi s’achève un séjour exceptionnel (avec comme l’an dernier un petit restaurant avec la famille), une nouvelle fois inoubliable, mouvementé et marquant et… peut-être retenter l’aventure aux prochaines éditions ! Jamais 2 sans 3, non ?
P.S : Petite dédicace à Valentin Dubuc (membre du groupe Facebook « La Ligue des Cinéphiles » et également fidèle abonné de MediaShow) que j’ai pu rencontré au Festival !